La première mondiale de Sherlock Holmes mettra en vedette Jay Baruchel dans une adaptation théâtrale de Greg Kramer, inspirée des œuvres de Sir Arthur Conan Doyle, mis en scène par Andrew Shaver. Une production du Centre Segal, présentée par Delmar, Sherlock Holmes prendra l’affiche au Théâtre Segal du 5 au 26 mai 2013. Visionnez la bande-annonce !

Une création toute montréalaise

Le rôle-titre de cette adaptation des classiques holmésiens a été confié au comédien montréalais Jay Baruchel. Ce vétéran de nombreux films hollywoodiens à succès tels que Dragons (How to Train Your Dragon), Grossesse surprise (Knocked Up), Million Dollar Baby, Tonnerre sous les tropiques (Tropic Thunder) et L’apprenti sorcier (The Sorcerer’s Apprentice) apportera son talent et son énergie contagieuse au sein de cette importante première montréalaise.

« C’est un honneur pour moi de pouvoir jouer ce personnage emblématique dans ma ville natale. Montréal est qui je suis, mon chez-moi; ça veut dire beaucoup pour moi de pouvoir contribuer un peu à la culture de cette grande ville. Flatté, touché, honoré : voilà comment je me sens à l’idée de m’impliquer au Centre Segal » dit Baruchel qui en plus de son travail aux États-Unis, se consacre fièrement à la création d’œuvres canadiennes de qualité, tant dans sa ville natale que nationalement, tels que le film culte Le Trotski (The Trotsky) et la comédie sur le hockey, Goon : dur à cuire (Goon) avec Marc-André Grondin.

En souvenir de Greg Kramer, ami et artiste bien-aimé

Le Centre Segal a mandaté Greg Kramer, auteur, metteur en scène et comédien montréalais d’origine britannique, pour écrire cette nouvelle œuvre canadienne tirée des aventures du Sherlock Holmes de Sir Arthur Conan Doyle.

Tristement, Kramer est décédé la veille des répétitions. Le Centre Segal dédie cette production à sa mémoire.

« Nous apprenons avec immense regret le décès de notre ami et collègue, Greg Kramer. Nous chérissons les moments précieux partagés avec Greg, un acteur, metteur en scène, auteur, musicien et magicien au talent et à la vision incomparables. Nous honorerons sa mémoire et son héritage en partageant avec le monde entier son ultime œuvre théâtrale, Sherlock Holmes. » dit Paul Flicker, producteur artistique du Centre Segal.

Greg Kramer a participé à plus d’une centaine de productions à travers le Canada, entre autres au Vancouver Playhouse, au Tarragon Theatre et Factory Theatre à Toronto, au CNA, au Manitoba Theatre Centre et ici, à Montréal, au Théâtre Centaur la saison dernière, dans Haunted Hillbilly et plus récemment dans le rôle du shérif de Nottingham dans Robin Hood de Geordie Productions. Parmi ses mises en scène, nommons Cat on a Hot Tin Roof et Inherit the Wind au Centre Segal et Tiger’s Heart de Kit Brennan au Théâtre Centaur. Son immense talent incluait aussi l’écriture; il est l’auteur des pièces de théâtre Lies of the Vampyre, Skateboard Tango et Isadora Fabulist (Imago Théâtre) et des romans The Pursemonger of Fugu, Couchwarmer, Hogtown Bonbons et Wally. Sherlock Holmes est son plus récent projet d’écriture, une relecture d’un classique incomparable.

Que la partie commence!

L’Angleterre, fin du 19e siècle, à Londres. Les guerres de l’opium sont terminées. Jack l’éventreur a semé son chaos. L’électricité se popularise et Scotland Yard en est à ses premiers balbutiements. Lord Neville St. John présente un émouvant plaidoyer contre l’opium à la Chambre des lords et le vote sur ce sujet est imminent. Pendant ce temps, le professeur James Moriarty, maître criminel notoire, rode son plan pour contrecarrer ce vote. Quand un noyé est découvert et que Lord Neville disparaît, Scotland Yard fait appel à Sherlock Holmes, « seul détective consultant au monde » et nouveau locataire du 221B Baker Street. Enlevant, humoristique, plein de crimes énigmatiques et de déductions surprenantes, Sherlock Holmes vous emportera dans une aventure passionnante à travers les fumeries d’opium, les quais boueux et les ruelles sombres de Londres. Voyez si vous pouvez résoudre l’énigme en même temps que le célèbre détective de Baker Street!

Les suspects habituels

Andrew Shaver, l’un des jeunes metteurs en scène montréalais les plus en vue, reconnu pour son travail avec la compagnie à succès SideMart Theatrical Grocery (Trad, Haunted Hillbilly, Gordon), apporte une vision ironique et organique à cette production.

Une distribution de 11 comédiens parmi les plus talentueux de la ville, fera revivre le monde de Sherlock Holmes. Karl Graboshas se joint à Jay Baruchel, dans le rôle du Dr. James Watson, biographe et fidèle compagnon du détective. Nous avons pu le voir précédemment, toujours aux côtés de Baruchel, dans le film, Goon : dur à cuire (Goon).

Ils partageront la scène avec Gemma James-Smith dans le rôle de la mystérieuse Irene St. John, Kyle Gatehouse dans celui du Professeur James Moriarty, ennemi mortel de Holmes et Graham Cuthbertson dans celui de son second, le colonel Sebastian Moran. Cette distribution dynamique est complétée par Trent Pardy, Patrick Costello, Chip Chuipka, Matthew Gagnon, Deena Aziz et Mary Harvey.

Une équipe de concepteurs hors pair est réunie pour créer l’univers holmésien. James Lavoie, aux décor et costumes, s’est inspiré du steampunk, avec un soupçon de Jean-Paul Gaultier, pour formuler sa vision du Londres néo-victorien. À cela se rajoute l’élégance des éclairages de Luc Prairie, une trame musicale puissante de Jesse Ash et la conception vidéo de George Allister et Patrick Andrew Boivin pour créer une expérience théâtrale « cinématographique ».

Billets : 514.739.7944 / centresegal.org

Où : Centre Segal des arts de la scène

5170, Chemin de la Côte-Ste-Catherine, Montréal

Metro: Côte-Ste-Catherine/Snowdon

Bus: 129/51

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Source: Centre Segal

Figura, le centre de recherche sur le texte et l'imaginaire du Département d'études littéraires de l'UQAM, présentera, les 29 et 30 avril prochain à l'UQAM, le premier colloque d'une série consacrée à l'imaginaire contemporain. Intitulé Suburbia, l'Amérique des banlieues, ce colloque portera sur la représentation de la banlieue nord-américaine dans la littérature et le cinéma.

L'organisation scientifique et logistique est assurée par Figura et ERIC LINT, l'équipe de recherche sur l'imaginaire contemporain, la littérature, les images et les nouvelles textualités.

La banlieue : un imaginaire en mouvement

Depuis la deuxième moitié du XXe siècle, le cinéma et la littérature ont fait de la banlieue plus qu'un décor, mais un véritable filtre à travers lequel observer la société nord-américaine, ses défaillances, ses déceptions et ses faux-semblants.

Ce colloque se penchera sur les représentations (littéraires, visuelles et discursives) de la banlieue nord-américaine depuis 1945. Les grands axes d'étude qui seront abordés par les intervenants pendant les deux jours de l'événement sont :

-la banlieue dans la littérature américaine et dans la littérature québécoise;
-la banlieue dans le cinéma contemporain ;
-l'espace banlieusard en Amérique du Nord;
-la banlieue dans la culture populaire et les pratiques et discours de la banlieue.

Table ronde « Écrire la banlieue » - 29 avril, à 16 h

Ce colloque sera aussi l'occasion de démystifier le rapport qu'entretiennent les créateurs avec la banlieue. Animée par Jean-François Chassay, professeur du Département d'études littéraires de l'UQAM, une table ronde réunira Michael Delisle, Carole David, Fannie Loiselle et William S. Messier, quatre écrivains qui cherchent à donner de la banlieue une image moins caricaturale que celle véhiculée par la télé et le cinéma contemporains. Pourquoi écrire sur la banlieue? Que peut-on en dire de nouveau? C'est ce à quoi nos quatre auteurs tenteront de répondre.

Organisateurs

FIGURA, le Centre de recherche sur le texte et l'imaginaire (http://figura.uqam.ca) réunit des chercheurs et des équipes de plusieurs universités, issus des études littéraires et cinématographiques, des arts visuels, de l'histoire de l'art, de la traductologie, de la bibliothéconomie et de la sociologie. Le Centre, subventionné par le Fonds québécois de recherche sur la société et la culture (FQRSC), étudie l'imaginaire contemporain saisi à la fois dans son immédiateté et dans ce qui l'a déterminé historiquement. En plus du site rattaché à la Faculté des arts de l'UQAM, Figura a une antenne à l'Université Concordia.

Renseignements
Programme du colloque
Le colloque est gratuit et ouvert à toutes et à tous.

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Source: Maude N. Béland, conseillère en relations de presse
Crédit photo: UQAM

C’est avec un enthousiasme certain que le Sac à Dos confirme la participation du groupe BRAN VAN 3000à la cinquième édition du Solidari-Show 2013. Présenté le jeudi 18 avril prochain dès 20h au Club Soda, le spectacle sera l’occasion d’amasser des fonds dans le cadre de la campagne de financement « L’AVENIR DES PERSONNES EN SITUATION D’ITINÉRANCE, ON S’Y EMPLOIE » amorcée le mercredi 12 décembre 2012 par Le Sac à Dos.

Cette année encore, pour la troisième fois, Le Sac à Dos peut compter sur l’implication de son porte-parole Paul Cargnello. Artiste engagé, cet auteur-compositeur-interprète agit à titre de directeur artistique du Solidari-Show, en plus d’assurer la première partie du spectacle de BRAN VAN 3000.

Le Sac à Dos est très heureux de compter sur de l’un des groupes montréalais les plus dynamiques pour son spectacle-bénéfice annuel. La nouvelle formation musicale de BRAN VAN 3000 est composée de membres originaux et de nouveaux venus qui donnent un nouveau souffle à l’aventure. De la formation originale : Nick Hynes aux guitares, Steve « Liquid » Hawley comme MC principal aux cotés du maestro James Di Salvio. S’ajoutent aujourd’hui au groupe : Pierre-Luc Cérat à la direction musicale, programmation et à la basse; Pascal Lepage à la batterie; Jon Matte à la trompette et la Kwansa Sheilley au chant.

Le Sac à Dos
Unique au Canada, Le Sac à Dos offre, depuis 10 ans, un service d’entreposage et un comptoir postal qui permettent aux personnes en situation d’itinérance de préserver et bâtir des liens sociaux. À ces deux services se greffe une panoplie de programmes et de projets qui permettent aux personnes de s’inscrire dans un processus de réinsertion sociale et professionnelle. Dans la dernière année, pour aller plus loin dans sa démarche de réinsertion, Le Sac à Dos devient le gestionnaire d’un studio de 15 unités. Celle-ci constitue un prolongement naturel des efforts de réinsertion pour engager les personnes résidantes dans un processus de responsabilisation devant eux-mêmes et devant les autres. Pour plus d’informations à propos de Sac à Dos, veuillez consulter le site web : www.le-sac-a-dos.org

1225 Saint-Laurent à Montréal
Billetterie : (514) 286-1010
www.clubsoda.ca

Le Festival d’été de Québec dévoile ses spectacles en salle, une programmation marquée par la diversité des styles proposés et le calibre des artistes à l’affiche. Présentés par Groupe Voyages Québec, ces spectacles attirent les festivaliers à la recherche d’une atmosphère plus intime. Que ce soit à l’Impérial de Québec, au Cercle, au Petit Impérial ou à l’Espace Hypérion, il faut s’attendre, cette année encore, à des rencontres inoubliables.

« Les spectacles en salle offrent aux festivaliers une proximité exceptionnelle avec l’artiste, il n’est pas rare qu’on y sente une réelle communion. » affirme Louis Bellavance, directeur de la programmation du Festival d’été de Québec. « Des coups de cœur, des frissons, des émotions fortes, voilà ce que nous leur souhaitons! Les festivaliers feront des découvertes, oui, mais ils auront aussi la chance de voir de grands noms qui se produisent rarement dans un tel contexte d’intimité. », ajoute-t-il.

Impérial de Québec

Avec une programmation où se mêlent têtes d’affiche rassembleuses et artistes à découvrir, le grand public comme les mélomanes seront ravis. « La programmation de l’Impérial est particulièrement forte cette année, c’est une réelle explosion de talents », souligne Arnaud Cordier, programmateur au Festival d’été de Québec.

Une soirée jazz au féminin accueillera dans un agréable crescendo Lily Frost, Coral Egan et Madeleine Peyroux, dont le plus récent album s’est rapidement hissé au sommet du palmarès jazz. Trois belles voix pour lancer le Festival.

Puis la crème de la chanson francophone québécoise avec David Marin et Louis-Jean Cormier. Artiste chouchou du public, celui-ci viendra accompagné de cinq musiciens chevronnés. Autre soirée francophone haute en couleur, Philippe Katerine s’amènera avec son projet Katerine, Francis et ses peintres. Il suffit d’imaginer 52 chansons du répertoire pop français passées dans son filtre iconoclaste avec en ouverture, les groupes La Jarry et Mauves.

Le premier weekend est entièrement consacré à l’indie. Le trio gallois The Joy Formidable, avec son rock incandescent et l’intensité qu’il met sur scène, fera assurément monter la température. En premières parties, les québécois The Besnard Lakes et Ponctuation réchaufferont l’atmosphère. Le lendemain, le Festival accueillera les danois The Raveonettes, dont la musique indie rock psychédélique promet de rendre leur premier passage à Québec inoubliable. Les groupes québécois Modern Primitive et Young Galaxy occuperont le début de la soirée.

Les fans de rock and roll ne voudront absolument pas manquer le premier passage à Québec de la figure mythique de la musique indépendante américaine, Jon Spencer. Le trio The Jon Spencer Blues Explosion sera précédé de Gros Mené et Machinegun Suzie. Une soirée qui risque de déplâtrer les murs! The Sheepdogs, que l’on avait pu voir en première partie de Jon Forgerty en 2011, seront de retour avec leur bon vieux rock and roll qui déménage, précédés du groupe de Québec Les Indiens.

On les connaît surtout pour leur irrésistible ballade « Hero » qui s’est répandue comme une traînée de poudre sur les ondes radiophoniques. Le groupe californien Family of the Year sera le point culminant d’une soirée folk pop qui débutera avec The Belle Game et Bahamas. Pour un premier passage au Festival, gageons que Family of the Year fera courir les foules!

L’étoile montante Solange, de la célèbre famille Knowles, a définitivement le rythme dans le sang. Avec son R&B teinté de soul et son incroyable charisme, nul doute que le succès s’annonce planétaire. Le groupe indie Ra Ra Riot se produira en première partie.

Spectacles à l’Impérial de Québec : 15 $ à la porte ou laissez-passer.
Tous les soirs dès 20 h.

Petit Impérial

La tradition des dernières années se poursuit avec une série de spectacles blues au Petit Impérial, une programmation qui rassemble jeunes prodiges et piliers du genre. Parmi les passages à surveiller, Eddie Shaw pour une virée exceptionnelle dans les entrailles du vieux blues standard. À l'âge vénérable de 76 ans, le saxophoniste est l'une des figures marquantes de l'histoire du blues américain. Un autre moment fort à prévoir est le concert de Mississippi Heat. Leur venue dans une salle si intime est aussi incroyable qu’extraordinaire. The Ria Reece Band renverra à l’idée même que l’on se fait d’une chanteuse blues, à la voix puissante et envoûtante, remplie de soul. Artiste majeure de la scène blues, la récipiendaire de 14 prix aux Maple Music Awards Sue Foley montera sur scène en duo avec le guitariste émérite Peter Karp. Les festivaliers pourront également découvrir Andy Poxon, âgé d’à peine 18 ans, au jeu de guitare exceptionnel et à la carrière des plus prometteuses.

Spectacles du volet blues du Petit Impérial : 15 $ à la porte ou laissez-passer.
Tous les soirs à 20h30.

Une nouveauté cette année pour les couche-tard qui souhaiteront prolonger leur soirée en musique, le Festival présentera les Nocturnes du Petit Impérial, les artistes y seront pour deux soirs consécutifs. Les festivaliers à la recherche de découvertes surprenantes seront servis avec Heymoonshaker, dont les rythmes sont exclusivement générés par la bouche d’un de ses membres, Dave Crow, un des meilleurs beatbox au monde. On trouvera aussi dans cette série The Record Company, dont le son se situe aux frontières du blues et du rock and roll old school, le musicien très en demande André Pananicolaou et l’homme-orchestre maître du rockabilly Bloodshot Bill.

Spectacles du volet Nocturnes du Petit Impérial : 10 $ à la porte ou laissez-passer.
Les 4, 5, 6, 7, 10, 11, 12 et 13 juillet, à 23h30.

Le Cercle

Tous les jours, le volet Apéro découverte offrira des occasions privilégiées d’aller à la rencontre d’artistes en tous genres que l’on gagne à connaître. On pense notamment à Nicolas Repac, multi-instrumentiste et complice d’Arthur H depuis de nombreuses années. Il s’attardera au blues tous azimuts pour un rare passage à Québec. Dans un tout autre registre, la violoncelliste d’origine brésilienne Dom La Nena, s’avère un autre rendez-vous intéressant avec sa musique du monde rappelant celle de Lhasa de Sela. Même la musique country sera fièrement représentée, avec les colorées Sylvia et Cindy Bédard. Parmi les autres agréables découvertes à prévoir, Forêt, qui regroupe des créateurs d’exception : l’ex-collaboratrice de Pierre Lapointe et chanteuse Émilie Laforest, l’ex-complice d’Ariane Moffatt et compositeur Joseph Marchand, le producteur et membre de Karkwa François Lafontaine et la poète et parolière Kim Doré. Le Festival est également fier d’offrir une tribune au gagnant du Festival international de la chanson de Granby, Rod le Stod, qui donne dans le hip-hop engagé.

Spectacles du volet Apéro découverte : 10 $ à la porte ou laissez-passer.
Tous les soirs à 18 h.

Encore cette année, les noctambules pourront profiter des fins de soirée au Cercle. Les rythmes électro seront à l’honneur avec Doldrums, Ain’t Not Love et le Balkan Beat Party, qui inviteront sans doute au déhanchement! Buddy McNeil & the Magic Mirrors reviennent s’éclater au Cercle après des visites remarquées au cours des quatre dernières éditions du Festival. On pourra également découvrir le jeune Mac deMarco, compositeur indie rock parfois comparé à Jonathan Richman & The Modern Lovers. Koriass, après avoir gonflé à bloc les fans de Big Boi au Festival l’an dernier, reviendra cette fois-ci en vedette pour une pleine démonstration de sa verve.

Spectacles au Cercle : 10 $ à la porte ou laissez-passer.
Tous les soirs à 23h30 ou minuit.

Espace Hypérion

À l’Espace Hypérion, seront proposés six spectacles qui donneront une saveur jazz aux weekends du Festival, une série présentée en collaboration avec le Festival de jazz de Québec. Le jeune pianiste et violoniste Thomas Enhco s’amènera en formule trio, lui qui à 23 ans a déjà trois albums à son actif. On y trouvera également le percussionniste américain Samuel Torres, originaire de Colombie, avec son jazz aux couleurs world. Trois artistes accomplis, au sein du Patricia Deslauriers Trio, mettront à l’honneur la poésie et l’intensité des musiques de Richard Desjardins. L’icône de la contreculture québécoise Raoûl Duguay viendra chanter, slammer et jouer, en compagnie de ses musiciens, ses chansons devenues des classiques. Colin Hunter, amoureux du jazz des années 1950, reprendra quant à lui des airs populaires de grands noms du jazz, dont Frank Sinatra, Dean Martin, Nat King Cole et Tony Bennett. Enfin, le Yannick Rieu Quartet rendra hommage à John Coltrane et son œuvre A Love Supreme, l’un des albums jazz les plus importants de tous les temps.

Spectacles à l’Espace Hypérion : 15 $ à la porte ou laissez-passer.
Les 4, 5, 6, 11, 12 et 13 juillet, à 20 h.

La 46e édition du Festival d’été de Québec se tiendra du 4 au 14 juillet 2013.

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Source: Festival d'été de Québec
Crédit photo: Photo du site officiel http://louisjeancormier.com/

L’Assommoir, le resto-bar du Mile-End, était plein à craquer lundi afin de découvrir le nouvel album de Jérôme Charlebois «Flambant 9».

Célébrités, médias et fan était présent pour écouter les quelques extraits du troisième album du chanteur. On pouvait ainsi apercevoir Robert Charlebois, bien sur, venu soutenir son fils mais également la blonde de Jérôme Charlebois, la comédienne Ingrid Falaise.

C’est d’ailleurs cette dernière qui a présenté très émue «son auteur-compositeur-interprète de chum» dont elle se dit «extrêmement fier».

Le chanteur a interprété quelques morceaux de son album dont «Millionaire en amour», chanson dédiée à sa muse. Autre extrait, autre hommage : «mon père», chanson dédiée à Robert Charlebois.

C’est donc un album personnel et aux paroles toujours très réfléchies qu’offre le chanteur. De ses anciennes aventures amoureuses peu concluantes à la peur de l’avion en passant par le hockey, c’est également son quotidien qu’il dépeint, souvent avec beaucoup d’humour. Le chanteur confie également être davantage exigeant avec ses textes qu’il souhaite engagés, à l’image de «la trentaine», «les nordiques sans Québec» ou «tout seul dans mon coin».

La place primordiale des textes de Jérôme Charlebois dans sa musique, le producteur Paul Dupont Hebert en a souligné l’importance : «Il faut écouter chaque mot, chaque phrase, chaque couplet, chaque refrain, il ya quelque chose de très précieux là-dedans».

«C’est un album d’été, d’automne, d’hiver qui s’écoute dans tous les voyages» a-t-il continué. Au public de se laisser envouter par les textes et la musicalité pop-folk de «Flambant 9».

«Les sports de combat, c’est quelque chose qui va vous appartenir pour toujours», souligne Alexandre Choko, auteur du livre «The Future of Boxing» et ancien propriétaire du gym Tristar. Cet ouvrage magnifique et illustré sur la boxe inspirera les amateurs autant que ceux qui connaissent moins le milieu.

L’auteur a toujours aimé le monde de la boxe. «Arriver à mener ce projet au bout était une façon pour moi d’apprendre davantage sur un milieu qui me passionne. J’étais dans le domaine, je faisais des événements et de là est partie l’idée de faire un livre», précise-t-il.

Selon lui, ce qui se passe dans un ring de boxe ressemble beaucoup à ce qui se passe dans la vie de tous les jours. «Quand on se retrousse les manches et qu’on décide d’entreprendre quelque chose, on rencontre l’adversité, on doit se préparer et tôt ou tard on doit aller plus loin pour surpasser nos propres limites, que tu gagnes ou que tu perdes», explique-t-il.

Alex Choko, qui a déjà donné la chance à monsieur et madame tout le monde de faire l’expérience d’un combat dans le ring avec son «Choko Boxing Fight Night», a mené plus de 55 entrevues pour accomplir son rêve de proposer aux gens un livre sur la boxe. Au départ, en 2004, il avait une liste de 100 noms. Après deux ans et demi, il a réussi à mener sa première entrevue. «On ne cogne pas à la porte de Mike Tyson pour aller faire une entrevue. Plusieurs m’ont dit que c’était mission impossible quand j’ai présenté ma liste, que je ne réussirais jamais à faire ça!», dit-il en souriant. Pour lui, c’était un combat en soi. «C’est certain que j’aurais aimé en faire plus, mais il fallait s’arrêter et pondre le livre», dit-il.

Alex n’a pas mené toutes les entrevues qu’il aurait souhaité, mais il est satisfait. «J’ai réussi à avoir l’avis de boxers partout dans le monde, mais c’était important d’avoir la perspective des générations aussi.» Il a tout de même réussi à obtenir de bons mots de Mohammed Ali via son entraineur, Angelo Dundee, sur le futur de la boxe : «The future of boxing is me making a comeback to the ring», a dit Ali.

Il se souviendra toujours de son entrevue avec Sugar Ray Leonard. «Il m’a reçu chez lui à Pacific Palisades, il a même un gym énorme chez lui. C’était la première fois que je le rencontrais et nous sommes devenus amis. C’était en octobre 2010», dit Alex avec beaucoup d’émotion.

Il a été soutenu par son entourage, bien que «certains ont pensé que j’étais fou, dit Alex Choko en riant, mais il y a eu des fous avant moi et il y en aura d’autres après! Mohammed Ali a dit ‘‘Who’s not courageous an off to take risks will accomplish nothing in life’’. Ça m’inspire.»

L’auteur et boxeur a fait l’équivalent de 5 fois le tour du monde pour son livre. Il a parcouru plus de 140 000 kilomètres seulement pour mener ses entrevues. C’était tout un défi, mais il se dit très satisfait du résultat. «Les gens n’en reviennent pas. Tout le monde adore, parce qu’ils trouvent ça tellement inspirant.» Il souhaite que les gens s’assoient avec le livre et passent un moment avec ceux qu’il a rencontré, et qui ont une philosophie de la vie qui s’applique à toutes situations.

Il croit que tous les obstacles qu’il a rencontrés ne sont rien par rapport à ce que ces gars-là ont vécu. «Je me suis plus d’une fois dit que j’allais laisser aller tout ce que j’avais comme biens, se souvient-il, parce que le matériel peut se réacquérir». Joe Cortez, arbitre mondialement reconnu et qui a hébergé Alex Choko lors de ses séjours à Los Angeles, lui a dit : «Alex, si tu avais été boxer professionnel, tu serais champion du monde», se rappelle-t-il avec un tremblement dans la voix.

«Achetez le livre et vous le saurez, répond Alexandre Choko en riant quand on lui demande quel est selon lui le futur de la boxe. Sérieusement, j’ai un chapitre qui s’appelle ‘‘The next round’’, qui est en somme mes conclusions». Alex comprend mieux que jamais le sport et a maintenant une relation privilégié avec beaucoup de grands dans le domaine de la boxe. Il croit qu’avec un groupe de bonnes personnes, il peut faire partie de l’équation menant à un meilleur sport, à une meilleure boxe internationalement.

Le lancement du coffret de collection aura lieu le 4 juin au Ritz Carlton.L’événement sera une belle occasion de célébrer le travail d’Alex Choko, qui est parti avec son pack sac pour aller à la rencontre de tout ce beau monde. «C’est un rêve qui se réalise d’avoir Sugar Ray Leonard, Jake ‘‘Raging Bull’’ LaMotta, Leon Spinks et Joe Cortez au lancement», précise l’auteur. Les meilleurs chefs montréalais seront également présents.

Cocktail, champagne, souper 5 services, 1 exemplaire du coffret édition collection spéciale «The Future of Boxing» autographié avec un superbe boîtier ainsi qu’une prise de photos avec les légendes de la boxe qui seront présentes, c’est ce qui attend les 200 invités VIP qui seront au Ritz.

Les amateurs de boxe peuvent toujours se procurer des billets, en vente au coût de 1500$, en contactant Laura Mora de Conservus à lmora@conservus.ca ou au 514 284-2246, poste 328.

http://futureofboxing.com/

Catherine Lefebvre, nutritionniste et auteur de « Les carnivores infidèles » se lance pour la première fois dans la fiction avec son roman « De l’utilité de voyager léger »

Grande voyageuse et chef de mission humanitaire, Catherine Lefebvre a parcouru le monde. Cette expérience l’a poussé à utiliser le thème du voyage et des destinations comme fil rouge de son roman. Fil rouge, car attention « De l’utilité de voyager léger » n’est pas seulement un livre de voyages. On y découvre, Elsie, attachante héroïne, au gré de ses voyages mais également de ses relations amoureuses et des péripéties qui en découle. Un livre bien encré dans sa période donc, grâce à une Elsie libre et indépendante.

Catherine Lefebvre nous explique que ce premier roman est purement fictionnel : «Elsie ce n’est pas moi. Je l’ai pensé comme une petite sœur à qui on dirait « mais qu’est ce que tu fais ? Dans quoi tu t’embarques encore ?» ». Une petite soeur qui vit des situations que l’auteur a tout de même observées autour d’elle. Ce qui fait d’Elsie une héroïne dans laquelle chacun de nous pourrait se reconnaître. «Elle a une part de petite fille qu’on a toutes en nous et qui va plus ou moins se manifester à des moments de nos vies». C’est pourquoi cette Elsie «qui va nous faire faire des choses un peu folles mais qui nous rappelle qu’on est en vie» n’a pas d’âge. «Je l’ai pensé comme une jeune fille autour de 25 ans mais finalement ça pourrait être une femme de 40 ans qui retrouve sa petit fille qu’elle avait tapi en elle».

Mais qu’est ce qui a poussé Catherine Lefebvre, nutritionniste de formation dans la fiction ? «Je fais également du journalisme mais tous cela reste des faits, des recherches, des statistiques… J’avais besoin d’une pause, de raconter quelque chose». L’auteur s’est inspiré des nombreux voyages qu’elle a accomplis afin de se lancer. En effet, cette dernière a visité toutes les destinations évoquées dans le livre. «Ces voyages c’était ma base, ma seule zone de confort». De la Tanzanie au Costa Rica, en passant par l’Australie, l’Argentine ou le Portugal, le livre est totalement encré dans le thème du voyage. Un nombre de destinations important qui impose de «voyager léger». Mais le titre est évidemment à double sens et doit se lire comme une métaphore : «Pour voyager léger il ne faut pas être trop pris dans ses sentiments, savoir les mettre de côté et continuer à évoluer dans la vie, dans les histoires».

L’histoire d’Elsie est, elle, à découvrir aux éditions Cardinal. «De l’utilité de voyager léger» de Catherine Lefebvre.

Le Festif! vous présente aujourd’hui la programmation officielle de son évènement qui aura lieu du 26 au 28 juillet prochain. Les membres du comité organisateur ont travaillé d’arrache-pied afin de présenter une programmation digne des trois premières éditions tout en s'assurant de développer d'avantage la programmation et les différents partenariats avec le milieu.

L’organisation a tout mis en œuvre afin d’offrir aux festivaliers une véritable expérience. C’est avec fierté que nous vous présentons la programmation 2013 du Festif ! de Baie-Saint-Paul. Celle-ci sera ponctuée de spectacles d’envergure mariant les artistes de l’heure et artistes légendaires. La Place des grands spectacles accueillera, le 26 juillet, en grande primeur québécoise le nouveau spectacle de Daniel Bélanger, un des deux seuls à l'été 2013. Ce spectacle grandiose sera précédé par Sunny Duval. Le 27 juillet, célébrera le 20ème anniversaire du groupe Les Colocs alors que les musiciens originaux monterons sur scène en compagnie de Loco Locass, Damien Robitaille, Marc Déry, Mara Tremblay et Éric Goulet. Ce grand spectacle sera précédé par Lisa Leblanc. En grande clôture le 28 juillet aura lieu le spectacle tant attendu du groupe australien The Cat Empire, qui présentera son seul spectacle extérieur et un des deux seuls au Québec à l'été 2013. Le groupe sera précédé par le collectif afro-funk de Montréal, Papagroove. Les fêtards ne seront pas en reste alors qu'une programmation d'après-Festif! Permettra de voir Gros Mené, Keith Kouna et Canailles au sous-sol de l'Église de Baie-St-Paul, Bloodshot Bill et Petit Crucq (France) au Bistro du Monde, ainsi que Roma Carnivale et Sunny Duval en Dj-set au Mouton Noir. L'Hôtel La Ferme du Massif de Charlevois accueillera quant à elle le prolifique Philippe B. dans sa place publique extérieure le 28 juillet en après-midi.

Les artistes de la relève seront également en vedette avec les spectacles de Isabelle Simard, Éric Larochelle et leur invités et des gagnants du Cabaret Festif! de la relève Garoche ta sacoche et Les gars à botch.

Le centre-ville sera également envahit d'artistes de cirque alors que Throw 2 catch, Streetfighter, Turbo 418, Les Gargouilles, Pierre Carrillo, Roma Carnivale et bien plus animerons la fin de semaine.

Le centre-ville de Baie-Saint-Paul se transformera en véritable carrefour culturel le temps d'une fin de semaine.

Le Festif! de Baie-Saint-Paul aura lieu les 26, 27 et 28 juillet 2013, au centre-ville de Baie-Saint-Paul. Les billets seront en vente dès le Mardi 16 avril dans différents points de vente et sur internet (www.lefestif.ca) au coût de 20$ par soir ou de 50$ pour le passeport complet. Nous tenons à remercier les partenaires et commanditaires qui croient au Festif! depuis les premiers instants. Sans eux, nous ne pourrions offrir un événement d’une telle envergure à la population Charlevoisienne.

Rappel : Le Festif! accueillera The Cat Empire, Daniel Bélanger, Les Colocs (avec Loco Locass, Damien Robitaille, Marc Déry, Mara Tremblay et Éric Goulet) , Lisa Leblanc, Gros Mené, Keith Kouna, Canailles, Sunny Duval, Philippe B. , Bloodshot Bill, Papagroove et bien plus.

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Source: Le Festif! de Baie-St-Paul
Crédit photo: Le Festif! de Baie-St-Paul

Groupe Constructo, une entité de TC Media, vient d'annoncer la mise en ligne de Projets verts - La vitrine de l'architecture durable au Québec. Reliée à voirvert.ca, cette plateforme mettra en lumière les concepts et réalisations écologiques des membres de l'Ordre des architectes du Québec (OAQ).

Développé en collaboration avec le Comité des techniques et bâtiments durables de l'OAQ, ce nouveau site permettra aux architectes membres de l'Ordre d'y publier eux-mêmes l'information sur les projets verts portant leur signature, images à l'appui : sommaire du projet, faits saillants, caractéristiques écologiques du bâtiment, performance environnementale, solutions novatrices, et plus encore.

Les architectes pourront ainsi exposer aux différents acteurs du milieu du bâtiment, incluant les propriétaires et développeurs immobiliers, les stratégies et les mesures durables intégrées au design de leurs projets. Sans compter que leurs réalisations écologiques, qui les auront la plupart du temps amenés à sortir des sentiers battus, seront aussi mises en valeur.

« Le partage de la connaissance est essentiel à l'avancement de l'architecture durable en sol québécois. Car c'est en les diffusant que les meilleures pratiques et les solutions novatrices préconisées par les uns pourront être adoptées ou appliquées par les autres. Et c'est dans cet esprit que nous avons développé Projets verts - La vitrine de l'architecture durable au Québec », indique Anik Girard, directrice générale et éditrice de Groupe Constructo.

« Cette adresse est d'autant plus précieuse que la durabilité d'un bâtiment reste un concept abstrait, dit André Bourassa, président de l'Ordre des architectes du Québec. C'est particulièrement vrai en Amérique du Nord, où les certifications demeurent trop souvent le critère selon lequel on jugera la qualité et la durabilité du cadre bâti. Mais il ne faut pas oublier que la construction durable est beaucoup plus qu'une juxtaposition de techniques. Les multiples réalisations recensées par Projets verts en font d'ailleurs la démonstration par l'exemple. »

La mise en ligne de Projets verts - La vitrine de l'architecture durable au Québec vient enrichir le portefeuille de produits d'édition imprimés et électroniques de Groupe Constructo dédié au bâtiment durable. La nouvelle plate-forme s'ajoute au magazine Voir vert, publié depuis 2008; au portail voirvert.ca, en ligne depuis 2010; et au cahier thématique annuel Bâtiment, publié depuis 2001.

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Source: Groupe CNW, Groupe Constructo

Le Festival International de Jazz de Montréal vient d’annoncer la venue du phénoménal jeune chanteur et compositeur pop Willy Moon à L’Astral, le 9 juin, à 20 h, dans le cadre de la série Jazz à l’année présentée par TD. Avec son mélange original de rock’n’roll des années 50, de hip-hop et de pop résolument moderne, l’artiste d’origine néo-zélandaise connaît tout un succès viral grâce à l’irrésistible vidéoclip de la pièce Yeah Yeah, qui à ce jour compte plus de 2,5 millions de visionnements sur YouTube ! Les billets seront mis en vente aujourd’hui à midi.

Découvert en 2010 sur MySpace grâce à la chanson I Wanna Be Your Man, Willy Moon est rapidement apparu dans le radar des journalistes couvrant la scène musicale ― Q et le Guardian ont vanté ses mérites ― ainsi que des dépisteurs de tendances du monde de la mode ― son look de dandy lui a valu de se retrouver dans Elle, GQ et Vogue… Le musicien a aussi trouvé un accueil favorable chez ses pairs : la preuve, un certain Jack White (White Stripes) l’a invité à se produire en 1re partie de ses concerts.

Paru en décembre dernier, le 1er minialbum de Moon donnait un avant-goût du disque Here’s Willy Moon, tout juste paru, qui regroupe des compositions originales contagieuses ainsi qu’une paire de reprises inspirées ― Shakin’ All Over et I Put a Spell on You. Une occasion en or d’apprécier ce fabuleux talent dans le cadre de sa 1re tournée nord-américaine !

Autres concerts de la série JAL à ne pas manquer

Dorothée Berryman en duo — 20 avril, 20 h — L’Astral — Après sa visite en quintette au dernier Festival, l’attachante chanteuse-actrice-animatrice revient accompagnée de son pianiste Vincent Réhel pour nous interpréter du matériel de son plus récent album éponyme. Au programme, des pièces tirées du répertoire de la chanson française, des classiques de la musique populaire américaine, du jazz, du tango et même une petite incursion trip-hop. Soirée sympa et feutrée en perspective.

Jill Barber — 2 mai, 20 h — Métropolis — Elle nous a déjà ensorcelés à plusieurs reprises dans le cadre de Jazz à l’année ainsi qu’au Festival — la fois dernière, c’était à l’été 2011 sur les planches du Club Soda. Toujours aussi envoûtante, Miss Barber vient nous présenter son tout nouvel album, Chansons, qui fait honneur à la langue de Prévert. Usant de son inimitable charme, la chanteuse y reprend des standards des années 40, 50, 60 comme Les feuilles mortes, La javanaise et Quand les hommes vivront d’amour. Un pur ravissement.

Térez Montcalm — 16 mai, 20 h — L’Astral — Si on mélangeait un brin de Janis Joplin, un soupçon d’Édith Piaf et une pincée d’Ella Fitzgerald, nul doute qu’on aurait créé Térez Montcalm, chanteuse intemporelle unique et originale, à la voix inoubliable et aux musiques entêtantes. Après nous avoir servi un hommage bien senti à son idole Shirley Horn au Festival et dans le cadre de Jazz à l’année en 2011, la musicienne viendra nous interpréter le matériel d’un tout nouveau disque enregistré à Bruxelles et dont la sortie est prévue pour l’automne. C’est qu’on a hâte d’entendre ça…

Les billets pour ces trois concerts sont déjà en vente aux guichets de L’Astral (305, rue Sainte-Catherine Ouest) et du Métropolis (59, rue Sainte-Catherine Est) et sur ticketmaster.ca ou admission.com, 1 855 790-1245.

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Source:Festival International de Jazz de Montréal.
Crédit photo: Festival International de Jazz de Montréal.

C’est aujourd’hui que le Carrefour international de théâtre dévoilait l’ensemble de sa programmation. En décembre, Marie Gignac, directrice artistique, avait déjà annoncé l’invitation spéciale que le Carrefour avait adressée à des créateurs de Québec. Puis, en mars dernier, la présence de grands metteurs en scène au festival était rendue publique. Quelques jours plus tard, la ville confirmait l’enveloppe budgétaire qui permet la création d’un nouveau spectacle déambulatoire. Regard en détails sur cette grande fête de la création.

Les spectacles d’ici, quatre spectacles en création!

Les Reines
Un texte de Normand Chaurette, joué par Les Écornifleuses, mis en scène par Frédéric Dubois

Depuis leurs études au Conservatoire, les cinq jeunes femmes rêvaient de jouer ce huis clos de reines shakespeariennes. Plusieurs années plus tard, alors qu’elles arrivent à la trentaine, voilà que le Carrefour leur en donne la possibilité dans un écrin incomparable, la Tour Martello 4. Un spectacle intime : une soixantaine de sièges par soir, 10 représentations entre le 22 mai et le 2 juin.

Danse de garçons
Un collectif de danse-théâtre dirigé par Karine Ledoyen avec le regard de Daniel Danis

Le titre ne dit pas tout : ces garçons qui dansent, ce sont tous des acteurs. Après avoir assisté à un spectacle de danse contemporaine qui les avait galvanisés, ils ont convaincu la chorégraphe Karine Ledoyen, de la compagnie Danse K par K, de créer avec eux une pièce où ils allaient, une fois n’est pas coutume, délaisser le verbe pour faire parler le geste. Le public pourra découvrir cet objet unique les 29 et 31 mai ainsi que le 1er juin.

Le NoShow
Un show-must-go-on à tout prix

Dans quelles conditions matérielles les artistes de la relève vivent-ils? Quelle est la valeur d’une oeuvre d’art? Combien coûte réellement une place au théâtre? Avec son collectif Nous sommes ici, en collaboration avec la compagnie DuBunker, dirigée par Hubert Lemire, Alexandre Fecteau se penche sur ces questions et invite le public à partager l’expérience. Exceptionnellement, les spectateurs devront choisir le prix de leur billet, en vente uniquement à la porte, les 5, 6 et 8 juin.

L’homme atlantique (et La maladie de la mort)
Deux textes de Marguerite Duras, mis en scène par Christian Lapointe

Marie-Thérèse Fortin, alors directrice artistique du Théâtre d’Aujourd’hui, a proposé à Christian Lapointe qui y était en résidence, de jouer sous sa gouverne. Après avoir échangé plusieurs pièces, ils se sont rejoints autour des textes de Marguerite Duras. Anne-Marie Cadieux et Jean Alibert complètent la distribution de ce spectacle qui met en jeu le geste de l’écriture cinématographie. Les 7 et 8 juin.
Le Carrefour international de théâtre est très fier des liens qu’il entretient avec les artistes de la ville de Québec et très heureux de leur offrir une place de choix au prochain festival!

Les spectacles d’ailleurs
Icaro (Lugano)

C’est Icaro, de Daniele Finzi Pasca, qui ouvrira la fête. Joué plus de sept cent fois dans six langues différentes et dans une vingtaine de pays depuis sa création, ce spectacle mémorable, présenté en 1996 au Carrefour, nous revient, toujours porté par son fabuleux créateur, un artiste clown à la grâce aérienne. Occasion de découvrir ou de revoir ce spectacle débordant de tendresse, de drôlerie et d’humanité, cinq soirs, du 21 au 25 mai.

Un ennemi du peuple (Berlin)
Un texte d’Henrik Ibsen, mis en scène par Thomas Ostermeier

Depuis ses débuts, Thomas Ostermeier, directeur artistique de la Schaubühne de Berlin, secoue la scène théâtrale. Le Carrefour avait présenté l’impressionnant et mémorable Mann ist Mann en 2002. Cette fois, Ostermeier nous propose sa relecture de l’histoire du Docteur Stockman, médecin qui souhaite protéger la santé de sa communauté mais qui se voit confronté à des visées économiques. Entre drame et comédie, ce spectacle interroge l’intégrité, interpelle le spectateur et enflamme sa réflexion. De la grande visite à Québec, un soir seulement, le 27 mai!

La grande et fabuleuse histoire du commerce (Paris)
Une création théâtrale de Joël Pommerat

Voix unique du théâtre contemporain, Joël Pommerat bâtit une oeuvre rigoureuse. Après Les marchands, présenté au Carrefour en 2009, voilà un spectacle qui questionne notre rapport à l’acte d’acheter et de vendre, acte qui conditionne toutes nos vies. Des vendeurs itinérants à deux époques, 1960 et 2000. Leur unique credo : convaincre, séduire, gagner, créer le désir, le besoin. On découvre leurs techniques, leurs scrupules, leurs histoires personnelles, livrés avec humour et émotion. Depuis sa création en 2011, la production a voyagé en Europe, récoltant sur son passage des critiques élogieuses. Les 2, 3 et 4 juin.

II (deux) (Ottawa)
Un texte de Mansel Robinson, mis en scène par Geneviève Pineault avec Jean-Marc Dalpé et Elkahna Talbi (Queen Ka)

À la fois huis clos et confessions parallèles, intime et politique, le spectacle présente, en deux temps, un policier d’ici et sa jeune épouse tunisienne. Tout y passe, leur rencontre, leur amour, leurs cultures. Maha, musulmane, semble cacher quelque chose : serait-elle une terroriste? Le soupçon s’insinue. Pièce troublante et nécessaire, elle souligne les pièges, toujours présents, de la peur de l’Autre… Les 30, 31 mai et le 1er juin.

Ganesh Versus the Third Reich (Melbourne)
Un spectacle du Back to Back Theatre, mis en scène par Bruce Gladwin

Du grand art que ce Ganesh. Des comédiens ayant un handicap intellectuel préparent un spectacle racontant le périple de ce dieu hindou à tête d’éléphant, parti récupérer la svastika recyclée par Hitler en symbole nazi. Au fil des répétitions, les relations se tendent sous l’autorité d’un metteur en scène qui verse dans la tyrannie. Réflexion à la fois touchante et hilarante sur les préjugés et l’abus de pouvoir, le spectacle donne à voir nos propres limites. Un bijou! Les 6, 7 et 8 juin.

C’est du chinois (Amsterdam)
Un spectacle d’Édit Kaltor

La créatrice du spectacle, née en Hongrie, émigrée à l’adolescence aux États-Unis, vivant maintenant à Amsterdam, nous convie à une expérience de dépaysement, une expérience qu’elle a maintes fois vécue. Le spectacle propose un cours de mandarin. Supports à l’enseignement, des objets du quotidien permettent à une fausse famille de vrais chinois de se raconter, la leçon se transformant vite en récit de vie. Une rencontre unique, stimulante qui promet rires et… connaissances nouvelles! Les 7 et 8 juin.

Où tu vas quand tu dors en marchant… 3

De nouveaux lieux, de nouveaux artistes, un même bonheur! Le Carrefour international de théâtre propose un nouveau spectacle déambulatoire, encore une fois au coeur du quartier Saint-Roch. Pour voir la ville mise en scène, pour se promener dans un spectacle, pour regarder un comédien les yeux dans les yeux, Où tu vas quand tu dors en marchant… s’impose comme un rendez-vous annuel incontournable! Les 23, 24 et 25 mai, de 21 h à 23 h en continu.

Comme le dit Marie Gignac, « ce qui importe c’est de jeter des ponts. C’est à vous que nous pensons, chaque année, toute l’année, à ce rendez-vous printanier avec vous. Chaque spectacle, chaque manifestation, chaque rencontre est un pont jeté d’humain à humain, pour être ensemble, pour continuer le dialogue, poursuivre la réflexion, partager les visions, et, ensemble, célébrer, dans la joie comme dans l’inquiétude, la survie de notre humanité dans un monde de plus en plus déshumanisant. Le théâtre n’a rien de magique, il demande que nous nous avancions les uns vers les autres, mais si la magie du théâtre opère, c’est en se posant comme un pouvoir de transformation, une quête inépuisable, une énergie infiniment renouvelable. »

Bienvenue au 14e Carrefour international de théâtre - 19 jours de festivités.

La meilleure façon de découvrir le théâtre est de plonger dans l’aventure du festival! Voir des spectacles en salles, déambuler à Où tu vas quand tu dors en marchant…3, assister aux créations des Chantiers – constructions artistiques et participer aux rencontres et aux discussions.

Billetterie et renseignements

Les abonnements seront en vente le jeudi 18 avril dès 10 h en personne à la billetterie du Carrefour et dès 13 h par téléphone. Les billets à l’unité seront disponibles à compter du samedi 27 avril à la billetterie du Carrefour et sur le réseau Billetech. Pour les achats de groupe et l’organisation de soirées corporatives, on peut joindre l’équipe au 418 692-3131.

Nouveau site
Plus d’informations sur les spectacles et les activités : www.carrefourtheatre.qc.ca

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Source: Carrefour international de théâtre
Crédit photo: Carrefour international de théâtre

Cet été, replongez dans l’ambiance festive des années soixante grâce à Tracy, l’héroïne flamboyante de ce qui deviendra la comédie musicale XXL de l’été : Hairspray. Une colossale équipe de 28 comédiens et 7 musiciens enflammera le Théâtre St-Denis en reprenant le spectacle qui a connu un énorme succès à Broadway et a gagné huit Tony Awards à New York ainsi que le prix Best New Musical au Olivier Awards à Londres, en plus d’avoir été porté à l’écran.

Tracy est une jeune adolescente qui souhaite danser à l’émission de télé la plus populaire en ville. Son rêve se réalisera et fera d’elle une célébrité. Dans une mise en scène de Denise Filiatrault et sur des airs endiablés évoquant les « High school musicals » des années 1960, la pièce met en scène les comédiens et chanteurs Louis Champagne (Minuit le soir, 30 vies), Vanessa Duchel (Star Académie), Danièle Lorain (Unité 9), Geneviève Charest (Les Misérables), Bryan Audet (Star Académie), Oliver Dion (Star Académie) et Kim Richardson (Belle et Bum).

Hairspray vous promet une soirée festive, grâce à sa musique et ses chorégraphies endiablées. La comédie musicale sera présentée au Théâtre St-Denis du 20 juin au 4 juillet 2013. Les billets et passeports sont disponibles dès maintenant sur le site www.hahaha.com et au (514) 845-2322.

Distribution :

Louis Champagne Geneviève Charest Tanya Brideau Kim Richardson
Vanessa Duchel Sylvain Scott Véronique Claveau Gardy Fury
Isabelle Drainville Éric Lussier Alexia Gourd Marina Bastarache
Dayane Ntibarikure Renée Joseph Marco Ramirez Mathieu Tremblay
Bryan Audet Olivier Dion Aiza Ntibarikure Sandy Duperval
Jennifer Silencieux Valérie Daure Danièle Lorain Boutaina Maalaoui
Isabeau Proulx-Lemire Jonathan Guilbault Isabelle Giroux Vladimir Alexis

Musiciens :

Nicolas Bédard Lucie Cochon
Philippe Bouffard Christian Morissette
William Côté Guillaume Saint-Laurent (chef d’orchestre)
Paul Audy

Créateurs :

Livret : Mark O’Donnell, Thomas Meehan Paroles : Scott Wittman, Marc Shaiman
Musique : Marc Shaiman Arrangements : Harold Wheeler
Basé sur le film de New Line Cinema écrit et réalisé par John Waters.

Concepteurs:

Mise en scène : Denise Filiatrault
Traduction et adaptation : Yves Morin
Assistante à la mise en scène : Marie-Hélène Dufort
Direction musicale et arrangements : Guillaume St-Laurent
Scénographie : Martin Ferland
Costumes : Suzanne Harel
Accessoires : Alain Jenkins
Éclairages : Mathieu Larivée
Chorégraphies : Monik Vincent
Sonorisateur : Frédéric Auger
Perruques : Rachel Tremblay
Maquillages : Jean Bégin
Coach vocal : Monique Fauteux

La 31e édition du Festival Juste pour rire présenté par Vidéotron en collaboration avec Loto-Québec se tiendra du 13 au 28 juillet prochain. En plus de la comédie musicale Hairspray, le festival présente la pièce Un Homme, deux patrons mise en scène par Normand Chouinard, les galas Obsessions et une programmation extérieure des plus riches.

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Source: Annexe Communications

La chanteuse québécoise Kim Bingham récolte une nomination aux Independent Music Awards (IMA) aux États-Unis. Elle figure dans la catégorie « Video Short Form » pour le vidéoclip de la pièce titre de son nouvel album UP.

Les IMA sont un événement d’importance dont les nommés proviennent de plus de 70 pays répartis sur 6 continents. Les gagnants bénéficient de promotion auprès d’un milliard d’amateurs de musique.

La carrière internationale de l’auteure-compositeure-interprète originaire de Montréal est sur une lancée depuis janvier dernier. Après avoir eu la mention de « Meilleur spectacle » au MIDEM à Cannes, elle a conquis le public parisien lors de sa grande première à Paris en mars au réputé Bus Palladium.

Les admirateurs francophones de Kim Bingham seront également comblés puisqu’elle lancera sous peu la pièce titre UP! en français sur toutes les radios du Canada.

Elle sera de passage à Montréal le 26 avril, pour un soir seulement, afin d’y présenter son spectacle qu’elle promène actuellement à travers le monde. Cette rentrée montréalaise aura lieu à la salle O Patro Vys. Les billets sont actuellement en vente au coût de 12$ via le www.kimbingham.com

Le public peut voter pour les IMA 2013 en visitant le www.theindependentmusicawards.com

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Source: PUR Communications
Crédit photo: Caroline Jean

Denise Filiatrault, directrice artistique du Théâtre du Rideau Vert, a dévoilé la programmation de la 65e édition de l’établissement mercredi matin en présence de ses habitués, des médias et des artistes.

La saison 2013-2014 sera une année marquante pour le théâtre avec une rénovation de ses immeubles et équipements. Une rénovation rendue possible grâce à la participation financière du gouvernement du Québec. Ainsi, les artistes se verront offrir une salle de répétition plus grande et les spectateurs de nouveaux sièges plus confortables. Le public est également invité à soutenir le Théâtre du Rideau Vert afin d’amasser les sommes restantes. Plusieurs façons pour le faire dont les dons ou l’achat d’un fauteuil à son nom qui portera le nom du donateur.

Pour son 65e anniversaire, le Théâtre du Rideau Vert s’offre également un rajeunissement avec de nouveaux visuels et un nouveau logo, crées par l’équipe créative Les Evadés.

Côté artistique, l’établissement de la rue St-Denis a misé sur une programmation efficace en misant sur des valeurs sûres. Avec une volonté d’en offrir «pour tous les gouts», Denise Filiatrault a dévoilé la programmation de la saison 2013-2014 avec beaucoup d’humour et de dynamisme.

C’est par un classique de Tchekov que démarrera celle-ci. Mise en scène par Alexandre Marine, «La Cerisaie» sera interprétée par Sylvie Drapeau, Paul Ahmarani, Marc Béland et bien d’autres. La nostalgie des souvenirs de Lioubiov constitue une œuvre majeure de Tchekov dont c’est la dernière pièce écrite.

De la Russie au Québec mais toujours au pays des souvenirs, c’est une pièce de Tremblay qui prendra la relève de la programmation avec «Le paradis à la fin de vos jours». Mise en scène par Frédéric Blanchette, la pièce très demandée par le public, verra Rita Lafontaine, seule sur scène, interprétée Nana se remémorer sa vie.

Autre ambiance, autre monde, le public retrouvera le grand succès du Théâtre du Rideau Vert avec «2013 revue et corrigée». Décortiquer l’actualité et la décrypter en parodies, en chansons, en caricatures et toujours avec beaucoup d’humour, c’est la mission de cette pièce. 6 interprètes : Véronique Claveau, Suzanne Champagne, Martin Héroux, Benoit Paquette, France Parent, Marc St-Martin et 1 metteur en scène : Alain Zouvi, pour accomplir cette mission.

L’année 2014 commencera auprès de la famille Brouillette avec «La grande sortie», une pièce de Mélanie Maynard et Jonathan Racine, mise en scène par Jonathan Racine et interprété par Suzanne Garceau, Sonia Vachon, Sébastien Gauthier et Mélanie St-Laurent. Une famille réunie autour d’une mère malade et c’est les liens qui se resserrent autour des histoires de la vie de cette dernière que ses propres enfants lui remémorent et enjolivent.

Serge Denoncourt prend la suite de la programmation et fête son retour au Théâtre du Rideau Vert avec une pièce maîtresse de John Logan : «Rouge». Un huit-clos entre un peintre (Germain Houde) au sommet de sa gloire et son jeune apprenti (Mikhail Ahooja) qui le place face à ses contradictions.

Denis Filiatrault a également fait part de son projet de mettre sur place une comédie musicale mais dont les détails seront dévoilés cet automne.

Pour davantage d’informations : http://www.rideauvert.qc.ca/

Johanna Nutter nommée porte-parole bilingue pour la 23e édition du Festival St-Ambroise FRINGE de Montréal

L’équipe du Festival St-Ambroise FRINGE de Montréal 2013 est fière d’annoncer la venue de Johanna Nutter, auteure, metteure en scène et comédienne acclamée mondialement, comme porte-parole de la 23e édition du festival. Mme Nutter est précédée par les vétérants du FRINGE Dan Bingham et Benoît Drouin-Germain, qui ont joint les rangs des portes-paroles avec Steve Galluccio, Marianne Ackerman et Simon Boulerice.

« I’m happy to be hosting the festival le plus hot in town; bienvenue à bord! » lance Johanna Nutter.

Johanna Nutter a eu son premier rôle à l’âge de deux ans dans le film de son père pour l’ONF, Loose Associations. Elle a été formée pendant dix ans par Warren Roberston, un vétéran de l’Actors’ Studio, et on a pu la voir dans de nombreux films, à la télévision et au théâtre, entre autres dans le rôle de Margie Walsh à la première canadienne de Good People au Théâtre Centaur en novembre, une production saluée par la critique et qui a fait salle comble.

En plus d’être la fondatrice et la directrice artistique de la compagnie de théâtre hautement récompensée Freestanding, dont deux productions ont été acclamées au Festival SummerWorks de Toronto en 2012, elle est aussi la fondatrice de l’Espace Freestanding Room, un espace dirigé par ses membres à Montréal et dédié à donner aux artistes un espace pour créer immédiatement. Avec Jeremy Taylor comme metteur en scène et dramaturge, Johanna a créé sa première pièce, My Pregnant Brother, pour le FRINGE de Montréal en 2009, où elle a remporté le prix du Théâtre Centaur pour le meilleur spectacle anglophone. Après s’être produite au WildSide Festival et avoir reçue le MECCA (Montreal English Theatre’s Critic Award) pour le meilleur texte, Johanna s’est vue invitée à créer sa traduction française à La Petite Licorne, où le spectacle a été présenté dans les deux langues (une première pour ce théâtre), gagnant par la suite le Cochon d'Or pour le meilleur spectacle indépendant québécois. Son spectacle a été vu à travers tout le Canada, de même qu’en Belgique. En mai, son spectacle sera présenté au Festival UNO de Victoria, aux côtés des meilleures productions solo canadiennes et internationales, avant de s’envoler pour le Pleasance Dome au Festival Fringe d’Edinburgh en août. Johanna a aussi joué My Pregnant Brother sur une mesa au Nouveau Mexique, dans un train en mouvement, et dans le salon de Bill Galssco à Tadoussac. Elle soutient que son spectacle n’aurait pas existé sans le Festival St-Ambroise FRINGE de Montréal.

« Le FRINGE nourrit un environnement qui encourage la pollinisation des arts et de la culture. » ajoute Amy Blackmore, la Directrice du Festival. « Nous sommes heureux d’avoir Johanna comme porte-parole cette année, pour promouvoir le développement des pratiques artistiques où les frontières linguistiques se confondent. »

Le Festival St-Ambroise FRINGE de Montréal est un carrefour de rencontre pour plus de 100 artistes locaux, nationaux et internationaux, où ils peuvent profiter d’une liberté artistique totale, que ce soit en théâtre, en musique, en danse ou en arts visuels. Joignez-vous à nous du 3 au 23 juin pour découvrir ce que la plus grande fête de quartier bilingue de Montréal a à vous offrir.

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Source: Montreal Fringe

En attendant la sortie du nouvel album d’Alex Nevsky prévue le 27 août prochain, l’artiste offre au public deux extraits inédits : des compositions d’une force lumineuse et mélancolique, fidèles à sa poésie de désir fragile et de grands espoirs.

Tuer le désir et On leur a fait croire se retrouvent sur un vinyle de format 7’’ en tirage exclusif de 500 exemplaires. L’objet sera lancé le 20 avril prochain dans le cadre du Record Store Day, évènement qui promeut les disquaires indépendants. Afin de célébrer ce double avant-goût, Alex Nevsky offrira des performances intimes dans trois disquaires à titre de premier artiste canadien francophone à faire partie de la sélection officielle de cet évènement.

Sur vinyle, Alex Nevsky fait ainsi découvrir à tous les prémices de son prochain disque aux airs de grands ébats, de montagnes comme les rondeurs et le sommet du cœur, d’horizons délicieusement clairs, délicieusement tristes.

Fréquences le disquaire – St-Hyacinthe
502, ave. Mondor
13h

Musique cité – Sherbrooke
169, King O.
16h

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Source: Audiogram

Les Films Séville, une filiale d’Entertainment One, sont fières d’annoncer la présentation du film Sarah préfère la course, en sélection officielle, Un Certain Regard, au Festival de Cannes! Âgées d’à peine 25 ans, il s’agit d’une seconde invitation pour la réalisatrice Chloé Robichaud et la productrice Fanny-Laure Malo, qui présentaient l’an dernier le court métrage Chef de meute en compétition officielle. Chef de meute a également été finaliste à la soirée des Jutra, aux Canadien Screen Awards et a remporté trois prix au Gala Prends ça court!, dont le prix du film s’étant le plus illustré à l’étranger. La réalisatrice Chloé Robichaud et la productrice Fanny-Laure Malo collaborent ensemble depuis leur baccalauréat à l’Université Concordia, alors qu’elles suivaient toutes deux le programme film production de la faculté des beaux-arts. Elles ont également gradué ensemble de l’Institut national de l’image et du son (INIS), en 2010.

Sarah préfère la course, premier long-métrage réalisé par Chloé Robichaud et produit par La Boîte à Fanny, met en vedette Sophie Desmarais, Jean-Sébastien Courchesne, Geneviève Boivin-Roussy, Hélène Florent, Micheline Lanctôt, Ève Duranceau, Benoit Gouin et Pierre-Luc Lafontaine. Le film prendra l’affiche le 7 juin prochain, partout au Québec. La grande première montréalaise aura lieu le lundi 3 juin au cinéma Impérial, en présence des artistes et artisans. L’équipe du film fera par la suite une tournée de la province, afin de rencontrer le public du Québec.

Synopsis

Sarah est une jeune athlète de course de demi-fond. Sa vie bascule lorsqu’on lui offre une place dans le meilleur club d’athlétisme universitaire de la province à Montréal, loin de sa banlieue natale de Québec. Sarah ne bénéficie pas du soutien financier de sa mère pour se lancer dans l’aventure. Celle-ci s’inquiète surtout des conséquences d’un tel changement sur la santé et la vie de sa fille. Déterminée, Sarah quitte tout de même pour la ville, en compagnie de son ami Antoine. Les deux, naïfs, s’épouseront, question de toucher de meilleurs prêts et bourses du gouvernement. Le mariage ne sera pas ce qu’ils espéraient, du haut de leurs 20 ans... Elle ne veut faire de mal à personne par ses choix, mais malheureusement, Sarah préfère la course.

La Boîte à Fanny inc. est une entreprise de production cinématographique fondée par Fanny-Laure Malo, en 2011, avec pour mission de supporter des projets de films audacieux et inspirants, et de participer activement à la création et la concrétisation de ces projets.

La Boîte à Fanny a produit, au courant des deux dernières années, une demi-douzaine de court-métrages dont Chef de meute, de Chloé Robichaud, qui était en Sélection Officielle à Cannes en 2012, et la trilogie du Canard, de Stéphane Foenkinos, un ensemble de trois court-métrages coproduit avec la France et mettant en vedette Pierre Lapointe, Émilie Simon et Monia Chokri. Sarah préfère la course est le premier long-métrage produit par la Boîte à Fanny.

Distribué par Les Films Séville, une filiale d’Entertainment One, Sarah préfère la course prendra l’affiche partout au Québec, dès le 7 juin prochain!

Visitez la page facebook du film, ainsi que la page web officielle de Sarah préfère la course au sarahpreferelacourse.com

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Source: Les films Séville
Crédit photo: Justine Latour

Tel que promis depuis quelques jours, l’équipe du Festival OFF de Québec donne aujourd’hui le ton de sa 10e édition en levant le voile sur deux artistes invités. Un premier rendez-vous est donné pour un grand bonheur musical frôlant de près la théâtralité avec une jeune femme craquante, pétillante… Klô Pelgag. Le même jour, le public est convié à un opéra inspiré du bouddhisme, des arts visuels, de l'esthétique manga et des mantras avec le groupe de rock progressif… Yamantaka//Sonic Titan. Du 3 au 6 juillet, on peut s’attendre à des soirées sans pareilles avec les artistes les plus prometteurs!

Et pour trinquer aux 10 ans du OFF, vous êtes conviés à une soirée de financement le vendredi 26 avril dès 17 h à l’Ampli de Québec. Un coup de pouce pour ce festival indépendant qui vous promet à nouveau cette année des rendez-vous incontournables pour s’imprégner de musique alternative et de talent underground.

Klô Pelgag – folk contemporain

vendredi 5 juillet 20 h / Parvis de l’église Saint-Jean-Baptiste / entrée libre
Avec une voix vacillant entre celle de Feist et Camille, Klô Pelgag se créé un style poétique, vivant, rêveur et allumé. Pétillant mélange d’absurde, de drolatique, de chanson/pop/folkabilique extra-terrestre (qui va au-delà de la lune), Klô Pelgag s’amuse. Son univers lui a fait mériter plusieurs prix et mentions notamment au Festival International de la chanson de Granby, au Festival de la Chanson Jeune Création Maison du Québec à Saint-Malo, à Vue sur la relève, au Tremplin de Dégelis, au Festival en Chanson de Petite-Vallée, à Ma Première Place des Arts et à la Bourse RIDEAU.
www.klopelgag.com

Yamantaka//Sonic Titan – black-métal, psychédélique, no-wave, noise-rock, fusion, pop
vendredi 5 juillet minuit / Coopérative Méduse, salle Multi / entrée 5 $*
*ou sur présentation de la passe VIP donnant accès à tous les spectacles du OFF en vente au coût de 10 $

Yamantaka//Sonic Titan est un groupe montréalais, établi maintenant à Toronto, qui attire grandement l’attention depuis la sortie de l’album YT//ST en octobre 2011. Ruby et Alaska, deux Canado-asiatiques qui se sont rencontrées en arts visuels à Concordia, ont inventé un monde fantastique duquel les chansons racontent des parties d’histoire, qui sont représentées visuellement sur scène par des éléments à l’esthétique manga. Plus qu’un clash des cultures, c’est un désir de questionnement et de compréhension des différences entre l’Orient et l’Occident qui s'exprime dans leur musique : elles chantent entre autres en japonais et en anglais, intègrent certains éléments des mangas, du bouddhisme et des mantras dans leur démarche.
www.ytstlabs.com

Ne manquez pas la soirée de financement…le vendredi 26 avril dès 17 h à l’Ampli de Québec – 240, rue Saint-Joseph Est 15 $* pour la soirée (spectacles, buffet et une bière) avec Odile, Garoche ta sacoche, Sam Eloi, DJ Catherine Genest et plusieurs artistes surprises

*Ajoutez 5 $ et obtenez la passe VIP du festival donnant accès à tous les spectacles du OFF (prix régulier 10 $).
La programmation complète du festival sera dévoilée le mardi 28 mai à 11 h au restaurant Le Tiers Temps à Méduse (591, rue De Saint-Vallier Est).

Le turbulent Festival OFF de Québec est un événement musical indépendant qui a pour mission d’offrir une alternative au grand Festival d’été de Québec. Sa programmation, à l’avant-garde des prochains grands phénomènes, est composée à 50 % d’artistes de Québec. Plus qu’abordable, la majorité des spectacles sont à accès libres, l’événement rassemble chaque année des milliers de spectateurs avides de sons nouveaux, de prestations délirantes et d’ambiances intimistes.

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Source: Communications Sira ba
Crédit photo: Communications Sira ba

Des rêves en gestation. Après le succès de Searching for Home, considéré par The Montreal Gazette comme le meilleur spectacle en 2011, le directeur artistique Gradimir Pankov a donné carte blanche au chorégraphe allemand Stephan Thoss pour la composition d’un programme complet. Jusqu’alors reconnu pour le style expressionniste et la grande musicalité de ses oeuvres, ce talentueux créateur fait le pari d’inventer une nouvelle physicalité en nous plongeant dans l’univers surréaliste des rêves avec Rêve, un ballet créé sur mesure pour Les Grands Ballets Canadiens de Montréal. Récipiendaire d’une demidouzaine de prix et distinctions, le chorégraphe de Leipzig affiche déjà plus de 80 pièces à sa feuille de route, classiques revisités ou créations contemporaines. Il est le concepteur des scénographies et des costumes de ses productions et, depuis 2007, il est aussi le directeur de la danse du Théâtre national de Wiesbaden. Un artiste accompli qui saura exalter les multiples potentialités des danseurs des Grands Ballets les 16, 17, 18, 23, 24 et 25 mai 2013 au Théâtre Maisonneuve de la Place des arts.

Un monde de rêves

La nature exacte de Rêve (dont le titre pourrait changer) n’est pas encore connue, mais Stephan Thoss a déjà un plan de travail clairement établi. Désireux d’exploiter le pouvoir évocateur de l’abstraction, il compte placer le corps au cœur d’une recherche sur l’origine du mouvement et du geste. Adoptant une approche surréaliste, il fera appel à ces images fortes à assembler dans un de ces puzzles dont il a le secret, afin de brouiller les frontières entre le réel et l’imaginaire, créant ainsi un univers onirique qui déjoue les certitudes des spectateurs autant que des danseurs. L’œuvre prendra donc la forme d’un magistral collage visuel et sonore à aborder en choisissant de s’y abandonner comme on aime tant le faire dans les bras de Morphée, dieu des rêves.

Le choix de Gradimir Pankov

Le directeur artistique des GBCM ne regrette rien de sa première collaboration avec Stephan Thoss, en 2011, pour lors de la reprise de Searching for Home, œuvre courte pour 16 danseurs, écrite sur la musique de Philip Glass et initialement créée en 2008 avec le ballet du Théâtre municipal de Wiesbaden. Se réjouissant de l’accueil enthousiaste réservé à ce voyage dans l’esprit cette œuvre – le voyage psychologique d’une femme découvrant les multiples facettes de sa personnalité –, M. Pankov a voulu souligner il souligne le talent rare du chorégraphe à opérer des ruptures dans le récit et à multiplier les actions sur scène
tout en maintenant une cohérence pour le spectateur. « Il a un tel dynamisme et une énergie si débordante qu’il a impressionné les danseurs de la compagnie et il les a transformés au point que je ne les reconnaissais plus, s’exclame-t-il. J’ai vu certains d’entre eux bénéficier d’un regain de jeunesse dans les rôles de Searching for Home; j’ai vu un timide s’ouvrir d’un seul coup comme une fleur; tous m’ont surpris d’une manière ou d’une autre. Stephan Thoss donne tellement, il est tellement inspirant que les danseurs font tout pour se dépasser. Ils ont sauté de joie en apprenant qu’ils allaient retravailler avec lui. » Totalement confiant, Gradimir Pankov laisse le champ libre au chorégraphe pour le choix de la forme et du thème de sa nouvelle création, espérant de tout cœur qu’il s’agira d’un ballet intégral pour l’ensemble des 38 danseurs de la compagnie.

Stephan Ross

Originaire de Leipzig, Stephan Thoss a été formé à l’école Palucca de Dresde, en ex-Allemagne de l’Est, avant d’étudier la danse expressionniste allemande selon les théories de Rudolf Laban. Inspiré par la musique dont il exalte les émotions dans ses chorégraphies, il a déjà créé plus de 80 œuvres : courts solos ou ballets intégraux; réinterprétations saisissantes de grands classiques tels que Giselle, La belle au bois dormant, Le Lac des cygnes ou Le sacre du printemps; œuvres abstraites ou d’inspiration surréaliste comme Searching for Home et Irr-Garten; et comédies burlesques telles que Boléro, No Cha-Cha-Cha et Carmencita. Toujours très musical et dynamique, son vocabulaire change d’une production à l’autre. Le parcours de Thoss commence dans les années 1980 à l’Opéra national de Dresde où il sera danseur soliste puis, à partir de 1992, chorégraphe résident, après un passage à l’Opéra comique de Berlin et au Théâtre de Kassel. Dans les années suivantes, il signe des œuvres pour des compagnies renommées parmi lesquelles le Ballet de Stuttgart, le Ballet national de Bavière, le Ballet de Hambourg, le Balleto di Toscana et le Nederland Dans Theater 2. En 1998, il assure sa première direction artistique d’une troupe de ballet, au Théâtre de Kiev. Il assume ensuite, en 2001, la direction artistique du ballet du Théâtre municipal de Hanovre, avant d’être nommé, en 2007, directeur artistique du ballet du Théâtre municipal de Wiesbaden, dont il a fortement contribué à moderniser l’image. Récipiendaire de nombreux prix et distinctions, Thoss conçoit lui-même les scénographies et les costumes de ses œuvres. La troupe des Grands Ballets Canadiens de Montréal est honorée de présenter sa nouvelle création.

Rêve
de Stephan Thoss
Les 16, 17, 18, 23, 24 et 25 mai 2013 à 20h
Théâtre Maisonneuve, Place des Arts
Causeries
Des causeries animées auront lieu avant toutes les représentations de 19 h à 19 h 30.

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Source: Les Grands Ballets Canadiens de Montréal
Crédit photo: Les Grands Ballets Canadiens de Montréal

MEG Montréal a 15 ans.

Le MEG comprend plus de 70 artistes répartis dans 8 salles, 2 scènes extérieures et 1 bateau.

The Hacker, Agoria, Duchess Says, Para one, Sexy sushi, Sound Pellegrino, Thermal Team, Bordello, Thomas Von Party, G.O. Brien, Van Did, Locomote, Géraldine et les narines lepen...sont quelques noms qui seront présents pour cette 15e édition.

La programmation complète sera dévoilée en mai!

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Source: MEG Montréal Festival
Crédit photo: MEG Montréal Festival